Max Bruch
Fanny Mendelhsonn
Félix Mendelhsson
Franz Schubert
Direction musicale: Laurence Equilbey
Fanny Mendelhsonn
Félix Mendelhsson
Franz Schubert
Direction musicale: Laurence Equilbey
Clin d'oeil à cette semaine d'inauguration de la Philharmonie de Paris, Laurence Equilbey et l'Orchestre de Chambre de Paris nous proposent un concert mettant les ouvertures à l'honneur. A travers quatre oeuvres méconnues, la formation nous invite à pénétrer dans des mondes peuplés de créatures étranges et baignés d'une atmosphère romantique. La musique comme porte vers le merveilleux...
Le concert débute par Die Loreley, composée par Max Bruch. Cet artiste allemand est avant tout connu pour ses Concertos pour violon, deux pièces ayant tendance à éclipser le reste de son travail. L'occasion est donc parfaite pour découvrir cette oeuvre rare aux influences brahmsiennes. C'est ensuite l'Ouverture en ut de Fanny Mendelhsonn que nous avons le plaisir d'écouter. L'une des rares compositrices du XIXème siècle sort ici de l'ombre de son frère grâce à son unique oeuvre symphonique. Nous entendons après cela l'ouverture des Hébrides, composition inspirée à Félix Mendelhsson après un voyage en Ecosse. Une capture musicale de ces paysages sauvages, où le calme et la tempête dansent un ballet perpétuel au grès des grottes et des falaises. Le concert se clôture enfin sur La Harpe enchantée, trace d'une tentative de Schubert de composer un opéra. Cette féérie a sombré dans l'oubli, seule son ouverture a connu le succès grâce à son intégration dans Rosamunde.
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